Valérie Gaudart

Quelles sont les convictions personnelles qui vous ont poussé à soutenir So good ?

Proposer et agir, s’engager et faire partie d’un collectif divers, qui partage une même idée du progrès et du mieux vivre sur la planète, en écosystèmes, car ils sont tous reliés entre eux, avec comme grille de lecture notre participation à certains des ODD de l’ONU.
Ce sont ces valeurs professionnelles et personnelles partagées avec So good qui nous ont réuni naturellement. L’impact positif n’est pas une idée superflue, c’est une autre facette de la performance, plus long terme, plus frugal, mais qui touche le cœur des personnes, avant de démontrer ce qu’il rapporte. Et c’est aussi avec le cœur que l’on fait avancer les systèmes en apportant notre contribution au collectif.

En quoi votre entreprise est-elle selon vous acteur de changement ?

Agir pour tendre vers une neutralité carbone est au cœur des changements à impact positif pour le plus grand nombre et la planète. C’est la raison d’être d’ENGIE.
Par ailleurs, nous travaillons dans nos territoires pour prendre part aux sujets déterminants de l’égalité et du progrès social en partenariat avec des acteurs de la société civile engagés. C’est ainsi que nous avons par exemple créé la Engie Good Galaxy qui en fédère une partie.

Un/une "solution maker" qui vous inspire et pourquoi ?

Il y a en a beaucoup, et c’est une très bonne nouvelle, surtout dans la période. Deux coups de cœur, avant de vous en donner vingt tout aussi extraordinaire : ISAHIT, qui permet à des femmes sur plusieurs continents de s’émanciper par la tech et Kadalys, une compatriote des Antilles, qui a inventé des cosmétiques bio en valorisant les déchets agricoles. Deux femmes entrepreneuses ... 😉